Le WEB hier, l’IA aujourd’hui
Il y a 25 ans, Internet a bouleversé le monde du travail. Certains disaient : « C’est une mode, ça passera. » On se méfiait des emails, des sites web, du commerce en ligne. Aujourd’hui, presque plus personne ne peut travailler sans connexion, sans recherche en ligne, sans messagerie numérique.
L’IA suit la même trajectoire… mais à une vitesse bien plus rapide. Ce qui avait pris des années avec Internet se joue désormais en quelques mois. Les usages explosent, les outils se professionnalisent et l’écart se creuse entre ceux qui apprennent à s’en servir et ceux qui restent à côté.
Pourquoi ne pas rater le train ?
L’IA ne supprime pas les métiers, elle transforme les compétences. Les tâches répétitives disparaissent, mais la valeur ajoutée humaine comme la créativité, la stratégie, le relationnel devient encore plus impératif.
Elle renforce la productivité. Les organisations qui intègrent l’IA constatent des gains nettement supérieurs : exécution plus rapide, moins d’erreurs, meilleur niveau de qualité et plus de temps consacré aux tâches qui comptent réellement.
Elle ouvre de nouvelles opportunités. Nouveaux services, nouveaux modèles économiques, nouvelles façons de collaborer.
Quelques chiffres qui parlent d’eux-mêmes:
- 78 % des entreprises européennes utilisent déjà l’IA (Factorial).
- Le PIB suisse pourrait croître de 80 à 85 milliards CHF en 10 ans grâce à l’IA (ICTjournal).
- L’adoption de l’IA dans les PME suisses atteint 34 % en 2025, contre 22 % en 2024 (Portail PME – SECO).
Refuser l’IA aujourd’hui, c’est comme refuser Internet en 2000. Ceux qui prennent le train maintenant prennent une avance difficile à rattraper.
Des métiers de bureau… aux métiers manuels
L’IA n’est pas réservée aux cadres ou aux métiers du numérique.
Dans les bureaux, un responsable marketing, un juriste, un enseignant ou un formateur utilisent l’IA pour rédiger plus vite, résumer des documents, préparer des supports, clarifier des idées et se concentrer davantage sur la stratégie, la pédagogie ou le conseil.
Dans le gros œuvre et les métiers manuels, l’impact est tout aussi concret. Un chef de chantier ou un conducteur de travaux peut préparer ses rapports, ses mails, ses comptes rendus et ses plannings avec l’aide de l’IA. Un maçon, un électricien, un installateur sanitaire, un menuisier, un carreleur, un peintre, un mécanicien peuvent rédiger des devis clairs, expliquer leurs interventions, créer des fiches pour leurs clients, formaliser des procédures sécurité ou qualité sans y passer leurs soirées.
Le geste reste humain. Le savoir-faire reste humain. Le contact client reste humain. L’IA devient un assistant discret qui aide à mieux organiser, mieux expliquer, mieux communiquer.
Passer à l’action dès maintenant
Il n’est pas nécessaire d’être expert pour commencer. L’essentiel est d’entrer en mouvement.
Découvrir un outil comme ChatGPT ou Copilot. Tester l’IA sur quelques tâches répétitives : emails, devis, rapports, supports de formation, descriptifs de prestations. Garder ce qui fonctionne et en faire une habitude. Quinze minutes par jour suffisent pour expérimenter, affiner ses questions et construire ses propres réflexes.
Agence iA: avant-gardiste et ancrée dans le marché romand
En Suisse romande, le tissu économique repose largement sur les PME, les indépendants, les entreprises du bâtiment et les métiers manuels. Ces acteurs ont besoin de solutions concrètes, adaptées au terrain.
L’Agence iA se positionne comme un partenaire avant-gardiste, qui suit de près l’évolution des outils, s’adapte en continu au marché et conçoit des formations pensées autant pour les métiers de bureau que pour le gros œuvre et les métiers manuels. L’objectif est clair : transformer l’IA en avantage compétitif pour celles et ceux qui construisent, produisent, forment et accompagnent au quotidien.
Ne restez pas sur le quai. Découvrez comment maîtriser l’IA dès aujourd’hui : www.agenceia.ch